Véronique Cazeneuve voit aujourd’hui son mari, Bernard Cazeneuve nommé au poste de Premier ministre. L’occasion d’en savoir plus sur celle qui partage sa vie.
Pour les cinq derniers mois du quinquennat de François Hollande, Bernard Cazeneuve va remplacer Manuel Valls au poste de Premier ministre. L’actuel ministre de l’Intérieur devient donc chef du Gouvernement. Manuel Valls a de son côté décidé d’entrer en campagne pour la primaire de la gauche, il vise donc la présidence de la République pour l’élection de 2017. Depuis le début du mandat de François Hollande, Bernard Cazeneuve s’est présenté comme un élément fondamental de la politique du chef d’Etat. Les deux hommes sont très proches, au point que Bernard Cazeneuve décide d’inviter François Hollande à son remariage avec Véronique en 2015. Le socialiste de 53 ans a choisi de renouer avec la mère de ses deux enfants sous le regard du président de République. Un mariage célébré en toute discrétion.
Elle aussi se montre très discrète. On sait qu’elle est éditrice à la tête de la maison d’édition A dos d’âne fondée en 2009 qui publie notamment des livres pour enfants. Elle est donc mariée à celui qui vient de devenir Premier ministre. Ensemble, ils ont deux enfants. Après avoir fait le choix de divorcer en 2012, ils ont décidé de se remarier le 12 août 2015 à Aiguines, une commune de 200 habitants dans le Haut-Var. Beaucoup de membres du Gouvernement avaient fait le déplacement pour célébrer cette union. Véronique Cazeneuve est née en 1961. Elle a fait des études littéraires et obtient une maitrise à Paris IV. Elle a enseigné quelques années avant de se lancer dans l’édition.
Une petite polémique ?
Véronique Cazeneuve avait fait une petite polémique lancée par le Point concernant ses chauffeurs. Nos confrères avaient notamment mis en avant qu’elle disposait en tant que femme de ministre de trois chauffeurs. Le cabinet du ministère de l’Intérieur a contacté la rédaction de Closer pour démentir ces informations. Et de préciser : « Il ne s’agit pas de trois chauffeurs comme écrit dans Le Point et repris sur plusieurs médias. La femme du ministre de l’intérieur a la possibilité pour des raisons de sécurité évidentes de mobiliser un véhicule ainsi qu’un policier armé. Il s’agit là de la protection minimale dans le contexte actuel ».