Après avoir démission de son poste de ministre de l’Economie fin août, Emmanuel Macron avait demandé une protection policière après avoir reçu des menaces de mort. Elle a été refusée dans un premier temps avant qu’un gendarme ne renforce son équipe de protection privée selon Le Point.
L’année dernière, Emmanuel Macron avait reçu de nombreuses menaces de mort lorsqu’il occupait le poste de ministre de l’Economie au sujet de la loi qui porte son nom. Le 30 août dernier, l’instigateur de Mouvement en marche a présenté sa démission mais il a demandé à bénéficier malgré tout d’une protection policière. Selon une information de l’hebdomadaire Le Point, le ministère de l’Intérieur n’a pas accédé à cette requête dans un premier temps car Emmanuel Macron n’est pas l’objet de menace selon lui.
Finalement, Emmanuel Macron, qui s’est entouré d’agents privés à ses frais après son départ de Bercy, a obtenu gain de cause. Un gendarme toujours en activité à renforcer l’équipe de protection privée mise en place par Macron. L’ancien ministre connaît bien ce sous-officier de la gendarmerie. Il était tout simplement détaché à sa sécurité et servait parfois de chauffeur lors de ses déplacements. Pourquoi le ministère de l’Intérieur a-t-il fait marche arrière ? Emmanuel Macron est-il toujours menacé par ceux qui lui ont envoyé de nombreuses lettres l’année dernière ?