Jim Carrey est en colère. Son avocat assure à TMZ qu’il n’est pas responsable des infections sexuellement transmissibles de Cathriona White.
Jim Carrey est en procès avec Mark Burton, l’ex-mari de Cathriona White, dont l’acteur s’était séparé quelques jours avant qu’elle ne se suicide, en septembre 2015. Selon Mark Burton, Jim Carrey est responsable de la mort de son ex-femme, et a décidé de le poursuivre en justice, car il lui a fourni les médicaments avec lesquels elle a mis fin à ses jours.
Il y a quelques heures, Mark Burton a décidé de modifier sa plainte contre l’acteur, ajoutant que son ex-femme avait confié à Jim Carrey qu’elle pensait avoir contracté à cause de lui une infection sexuellement transmissible au mois de février 2013. Il a en effet découvert que Cathriona White avait de l’herpès de type 1 et 2, ainsi que la gonorrhée. Avant de mettre fin à ses jours, elle aurait écrit à Jim Carrey, lui disant que ses maladies ne lui permettraient pas de retrouver quelqu’un après leur rupture, se qualifiant de « marchandise endommagée« .
On retrouve donc dans la plainte de Mark Burton des messages échangés entre Jim Carrey et Cathriona White en 2013, dont ceux faisant référence à sa maladie, rapporte TMZ.com.
L’avocat de Jim Carrey, Marty Singer, a répondu aux accusations, les qualifiant de « déclarations fausses et désespérées faites par le mari d’un mariage bidon« , dans un communiqué publié sur TMZ. Ajoutant que le procès était « catégoriquement discuté« , Marty Singer a confié au site que la plainte ne faisait pas sens à cause des dates fournies par Mark Burton, puisque Cathriona White a par la suite demandé à l’acteur de lui donner une nouvelle chance en 2014.
Il aurait également plusieurs témoins prêts à confirmer que Mark Burton était « engagé dans un mariage bidon, en violation de la loi fédérale, qui interdit les mariages blancs afin d’échapper aux lois contre l’immigration« , et que le couple ne résidait pas dans le même état après son mariage. Jim Carrey se prépare à riposter dans ce que Marty Singer appelle un « procès racket« .