Bernadette Chirac, 83 ans, a été hospitalisée d’urgence dans le même établissement, l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, que son mari Jacques Chirac ce mercredi 21 septembre au matin.
Le clan Chirac dans l’inquiétude. Le dimanche 18 septembre, Jacques Chirac a été hospitalisé à la suite d’une infection pulmonaire au sein de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Depuis, l’état de santé n’en finit plus d’inquiéter les Français. Ce mercredi 21 septembre, nos confrères d’Europe 1 révèlent que sa femme Bernadette Chirac a été hospitalisée d’urgence, à son tour, dans l’établissement parisien ce matin. Depuis ces dernières heures, les internautes n’en finissent plus de s’interroger sur l’état de santé de l’ancien chef d’Etat. Si Christine Boutin avait assuré sur Twitter que Jacques Chirac était « mort« , sa famille est sortie de son silence pour réclamer « sa tranquillité » et ajouter qu’il était « toujours hospitalisé ».
Bernadette Chirac « épuisée »
Bernadette Chirac, 83 ans, serait « épuisée » et aurait besoin de quelques jours de repos comme l’a fait savoir son gendre Frédéric Salat-Baroux au micro de l’AFP. « Bernadette Chirac, profondément marquée par le décès de sa fille aînée Laurence [en avril, NDLR] et épuisée depuis quelques jours à la suite de l’infection pulmonaire de son mari a été hospitalisée mardi à la Pitié-Salpêtrière pour souffler et récupérer un peu ».
Des vacances écourtées
Jacques Chirac se trouvait en vacances au Maroc. D’après le Parisien, « deux jets privés de la royauté marocaine » l’ont rapatrié à Paris dans la nuit de samedi à dimanche. « Il devrait rester à l’hôpital dans les prochains jours », déclarait son gendre Frédéric Salat-Baroux à la suite de son hospitalisation. Malgré tout, les proches de l’ex-président de la République s’affichent très inquiets. « On sent qu’il n’a plus trop envie de se battre. La mort de sa fille Laurence, en avril, l’a profondément affecté. Il n’entend plus grand-chose, se déplace en fauteuil roulant et a beaucoup maigri. Sa mémoire est complètement défaillante. Il vit vraiment au ralenti », reconnaissait un intime de l’ancien président de la République.