Pour sa grande première dans Le Grand Journal, Victor Robert a évoqué son rôle d’animateur dans l’émission en évoquant le « fauteuil éjectable » sur lequel il est assis.
Ce lundi, les fidèles du Grand Journal ont découvert les premiers pas de Victor Robert aux commandes du programme. Moins d’un an après avoir remplacé Antoine de Caunes, Maïtena Biraben a fait ses adieux à l’émission la semaine passée. Victor Robert est un visage loin d’être inconnu des Français. C’est lui qui ouvrait Le Grand Journal avec son JT chaque soir et remplaçait Maïtena Biraben en cas d’absence. « J’ai toujours été une petite main du paf. La télé, le bruit qu’elle peut faire et la portée qu’elle peut avoir, ne m’impressionne pas, » assurait d’ailleurs Victor Robert il y a quelques mois. Il faut dire qu’en prenant les commandes du Grand Journal, Victor Robert sait qu’il s’expose aux critiques.
Ce lundi soir, force est de constater que le journaliste a réussi à séduire les téléspectateurs avec son franc-parler. D’ailleurs, en ouvrant l’émission, Victor Robert a eu un mot touchant pour ses prédécesseurs . « Je salue amicalement, très amicalement mes prédécesseurs » a-t-il lâché avant d’évoquer le « fauteuil mythique bien qu’éjectable » sur lequel il est assis. A titre de rappel, Maïtena Biraben a été licenciée du Grand Journal pour « faute grave« . Elle avait été convoquée le 29 juin par la chaîne pour l’informer de son licenciement. « Canal+ lui reproche une forme de déloyauté, d’avoir tout fait pour aboutir à une situation de blocage pour se faire payer sa clause de sortie, alors qu’elle voulait partir » expliquait Les Jours.