En trois mois, l’album d’Amir, « Au cœur de moi », a été disque d’or, et notre brillant candidat à l’Eurovision a même sorti un deuxième single, On dirait. Si son sourire vous fait craquer, notez qu’il sera en tournée à l’automne avec un passage le 17 novembre à Paris, à La Cigale. En attentant, il a répondu à notre interview… décalée !
Closer : Quel est votre méchant préféré ?
Amir : Tony Soprano, dans Les Soprano, et Walter White, dans Breaking Bad.
Vous rencontrez Dieu, vous lui dites quoi ?
Je lui demande de prolonger ma vie, et celle de mes proches. Depuis mon enfance, je fais toujours le même souhait : être immortel.
Quelle serait votre épitaphe ?
« Bref et intense. » Mais attention, « bref », c’est relatif ! Même l’éternité resterait courte à mes yeux.
Quel est votre juron préféré ?
Petit merdeux.
En qui aimeriez-vous vous réincarner ?
En Président des Etats-Unis.
La meilleure excuse quand vous êtes en retard ?
« Je connais mal la circulation à Paris, je ne savais pas qu’il pouvait y avoir des embouteillages à cette heure-ci. » En réalité, cela fait trois ans que je vis ici.
La chanson que vous avez souvent en tête ?
En ce moment, c’est Mi amor, de Souf, et la chanson de l’Euro 2016 de David Guetta, This One’s for You.
Votre plus grosse gaffe ?
C’était il y a quelques années déjà. J’étais avec des potes, chez moi, et une fille est venue, car je voulais la présenter à mon cousin. Ça n’a pas marché mais, après, je voulais m’en débarrasser. J’ai envoyé un texto: « J’attends qu’elle se barre », non pas à mon cousin, mais à elle. Je lui ai expliqué après que c’était mon humour.
La dernière fois que vous avez pris les transports en commun ?
J’ai pris le métro, il y a environ trois mois. Comme mon portable était tombé dans les toilettes, je n’avais pas d’appli pour commander une voiture ou pour prendre une Autolib’.
Vous n’êtes jamais le dernier pour…
Faire la course à skis. Sur une piste rouge.
Avez-vous déjà menti sur votre âge ?
Pour rentrer en boîte. J’avais une fausse carte d’identité qui me donnait trois ans et demi de plus. Je me souviens, j’étais soi-disant né le 25 janvier 1981.
Le film honteux que vous adorez…
Rencontre à Wicker Park, avec Josh Hartnett et Diane Kruger.
Au karaoké, vous chantez quoi ?
Le métier que vous auriez rêvé de faire ?
J’aurais adoré être mafioso. Vivre dans cette tension permanente, échapper à la police, ça fait rêver. Mais, comme je ne suis ni sanguin ni sanguinaire, je n’en aurais pas été capable.
Cette interview a été publiée dans le numéro 581 de Closer.