Gilles Verdez était invité des Grandes Gueules sur RMC ce mardi 31 janvier. Le chroniqueur de Touche pas à mon poste a dû essuyer les critiques formulées contre son émission…
Gilles Verdez a eu du mal à défendre son émission. Invité sur le plateau des Grandes Gueules sur RMC ce mardi 31 janvier, le chroniqueur de Touche pas à mon poste a dû essayer les critiques formulées par les journalistes qui ont accusé l’émission de Cyril Hanouna de sexisme, ou encore « de blesser les gens ». « Nous sommes authentiques. C’est du direct, donc il y a eu parfois quelques débordements« , a d’abord défendu Gilles Verdez. Puis Karim Zéribi, journaliste des Grandes Gueules de lui rappeler les « humiliations » subies par le chroniqueur Matthieu Delormeau.
« Humilier de quoi ?!« , a commencé à s’emporter l’ex-grand reporter à L’Equipe. « Si on a une force dans cette émission, c’est de l’auto-dérision. Moi je revendique le droit de travailler sérieusement, sans me prendre au sérieux« , a continué Gilles Verdez. « On accepte la moquerie ! C’est une sorte de jeu ! », a martelé le chroniqueur, devant un Karim Zéribi bien perplexe… « Voilà, un jeu, une forme de télé-réalité« , a répliqué le journaliste, peu convaincu par la défense de son interlocuteur.
Pour rappel, les « jeux » de Touche pas à mon poste sont surveillés de près par le CSA, qui a déjà sanctionné l’émission pour plusieurs de ses séquences et l’a même menacée de suspension d’antenne…