Si certains trouvent déplacé que Cyril Hanouna mette son sexe sur l’épaule d’une de ses collaboratrices, Enora Malagré, elle, trouve ça « génial » et s’en explique dans les colonnes de « 20 minutes ».
La récente polémique avec Capucine Avav l’a rappelé : Cyril Hanouna ne connait aucune limite. Si, ce soir-là, l’animateur de Touche pas à mon poste avait trouvé drôle de mettre la main de sa jeune chroniqueuse sur son sexe pendant qu’elle avait les yeux fermés, en matière de blague scabreuse, le trublion du PAF n’en n’était pas à son coup d’essai. En mars 2016, une enquête accablante du magazine Society sur les méthodes « tyranniques« de Cyril Hanouna révélait par exemple que l’animateur aurait un jour uriné dans le verre d’un rédacteur en chef et déféqué dans les chaussures de l’un de ses chroniqueurs… Cyril Hanouna lui-même a avoué dans TPMP avoir une fois trempé son sexe dans le verre d’Isabelle Morini-Bosc. Autant de blagues potaches qui hérissent le poil de certains… et en amusent d’autres. C’est le cas d’Enora Malagré.
Interrogée mardi 24 janvier dans 20 minutes, l’emblématique chroniqueuse de Touche pas à mon poste confirme ainsi que, lors de son entretien d’embauche, elle a vu l’animateur mettre son sexe sur l’épaule d’une collègue… et qu’elle a trouvé ça « génial ». « Pour moi, c’était une performance artistique », juge la jeune femme de 36 ans, qui précise qu’à l’époque, elle faisait « des chroniques sur le théâtre contemporain ». « Et là, je rencontre un mec, qui, d’un coup, dépose son sexe sur l’épaule de sa camarade (…) en disant : ‘C’est un perroquet-teub’. J’éclate de rire, forcément. Il est fou, on est dans le performatif », ajoute la chroniqueuse.
« Ne soyons pas snobs ou méprisants »
Selon elle, il faut être ouvert d’esprit et de ne pas se montrer « snobs ou méprisants ». « Pourquoi les envolées scato de Cyril ne seraient pas des performances ? Lorsque John Waters fait manger de la merde à Divine, les gens crient au génie (…) Pourquoi Cyril n’aurait pas la carte arty aussi ? Je pose la question », se demande Enora Malagré. A bon entendeur…