Ministre, prof, philosophe, romancier, exportateur de saumon fumé… Vincent Peillon a eu mille vies. Alors forcément, on ne savait pas tout de lui. Closer fait le point sur ses petits secrets.
Avec ces températures négatives, vous rêvez de vous réfugier sur votre canapé pour une soirée télé ? Cela tombe bien : ce soir, il y a débat ! Dès 21h, sur France 2, les sept prétendants de la primaire de la gauche prévoient en effet de nous emballer. Politique, économie, sécurité… Tout y passera.Tout, sauf bien sûr ce qui nous intéresse vraiment : la face cachée des concurrents. Chez Closer, nous avons donc décidé de débusquer leurs petits secrets. Et après Arnaud Montebourg et son Cloclo, après Benoît Hamon et ses pogos, nous nous sommes penchés sur le cas Peillon. Un candidat que l’on connaît pour ses prises de bec avec Manuel Valls, ses joutes verbales avec Vanessa Burgraff ou ses critiques de Marine Le Pen. Mais une fois la partie de clash-clash terminée, que nous tait Vincent Peillon ? On vous dit tout.
1. Vite fait bien fait
L’importance des études ? C’est l’un des sujets que l’ex-Ministre de l’Education aime développer. Il faut dire que de son côté, il ne s’est pas trop mal débrouillé. Il sera ainsi bachelier à 16 ans, avant d’obtenir sa licence de Philosophie à 20 ans, sans avoir beaucoup mis les pieds à la fac.
2. Accident de parcours
Sa voie toute tracée va pourtant être violemment interrompue. Agressé par un drogué, il est en effet séquestré pendant plusieurs heures. De quoi lui provoquer un « électrochoc », et l’inciter à changer de vie. « J’ai réalisé que c’était bien beau de connaître les grands auteurs, mais que j’étais incapable de me défendre physiquement » s’était-il souvenu en 2009 dans Gala.
3. Saumon fumeux
Le jeune homme décide alors de partir à l’aventure et se fait embaucher comme couchettiste par la Compagnie des wagons-lits sur la ligne Paris-Copenhague. Mais ces trajets entre France et Danemark lui donnent une autre idée : se lancer dans la contrebande ! « J’arrondissais mes revenus en passant en douce du saumon, de l’alcool et des cigarettes » a-t-il raconté à L’Obs. Un poisson qu’il achète sur le port 60 francs et revend dix fois le prix chez les traiteurs parisiens. Ravi de ce trafic fructueux, Vincent Peillon crée alors une société d’import-export, dont le slogan sera « du saumon norvégien pour tous ». Celui que certains surnomment « Jackpot » a un vrai sens du commerce !
4. L’idole des jeunes
Tremble, Justin Bieber : Vincent Peillon a un certain succès auprès des ados. Après ses aventures poissonnières, il devient en effet professeur de Philosophie, et laisse un souvenir impérissable à des générations de jeunes filles. « On le voyait charmant, accessible » avait confié l’une d’elles au magazine Society. « Ah oui, il était beau mec. Ses cours m’intéressaient pour ça ! », renchérissait une autre. Viiiiinceeeeeeent !
5. Un ami pour Nicolas Sarkozy ?
Ils ne partagent pas énormément d’idées, mais le candidat a une passion commune avec l’ex-Président : le vélo. Un sport qui correspond à sa nature « solitaire », comme il l’avoue lui-même.
6. Même pas peur !
Exportateur de saumon, prof, Ministre, député européen… Le CV de Vincent Peillon est atypique. Et il est aussi auteur de thrillers. En avril dernier, il publiait Aurora, sur fond d’affrontements entre d’obscurs réseaux internationaux. Et début février, sortira son second polar, Un Chinois à Paris.
7. Papy fait de de la résistance
L’année 2017 s’annonce bien pour le candidat… D’un point de vue privé en tout cas. A 56 ans, ce père de quatre enfants – marié à la journaliste Nathalie Bensahel – va devenir papy pour la deuxième fois. Les joies de la famille !