Quelques heures après l’arrestation de 16 suspects en lien avec le braquage de Kim Kardashian à Paris, la star américaine va être appelée à identifier ses agresseurs.
L’affaire Kim Kardashian est relancée. Trois mois après le braquage de la star américaine à Paris, dans la nuit du 2 au 3 octobre, 16 suspects ont été arrêtés lundi 9 janvier au petit matin. Agés de 23 à 72 ans, les braqueurs présumés, qui avaient fait main basse sur un butin de 9 millions d’euros de bijoux, ont été placés en garde à vue et pourraient y rester un total de 96 heures, comme l’autorise la loi. Ils devraient ensuite être déférés auprès des magistrats de la JIRS de Paris en charge de l’enquête. Mais avant, Kim Kardashian sera appelée à identifier ses agresseurs.
Selon les informations de LCI, l’épouse de Kanye West devrait en effet « dans les toutes prochaines heures » être confrontée à ses agresseurs présumés. Les 16 suspects lui seront présentés derrière une vitre sans teint par visioconférence, Kim Kardashian étant actuellement aux Etats-Unis. Auprès de L’Express, Jean Veil, l’avocat français de Kim Kardashian, explique de son côté que la star de télé-réalité pourrait aussi « être réentendue à nouveau par les enquêteurs ». « Cela pourrait être nécessaire pour les investigations mais ce sera au juge d’instruction de décider », a-t-il expliqué.
« D’anciennes figures du grand banditisme »
Quant au profil des agresseurs, LCI croit savoir que les hommes arrêtés ne sont pas « des petits voyous de cité mais d’anciennes figures du grand banditisme », certains étant même » très connus de la brigade de répression du banditisme (BRB) ».