Elle a été mannequin dans les années 80 mais aujourd’hui, Estelle Lefébure n’aime pas ce qu’est devenue l’industrie de la mode. Elle explique pourquoi au magazine « Lifestyle ».
C’était mieux avant. Voilà, grosso modo, ce que pense Estelle Lefébure du monde de la mode. Un monde qu’elle connaît bien puisqu’elle y a débuté en tant que mannequin dans les années 80, à l’âge de 19 ans seulement. Très vite, la futur madame David Hallyday est devenue une icône incontournable de la mode et a posé pour de nombreuses marques de renom. Guerlain, Thierry Mugler, Dior… Ils ont tous, à un moment ou à un autre, succombé au charme d’Estelle Lefébure.
Aujourd’hui à la retraite, l’ancien top model de 50 ans porte un regard critique sur c’est qu’est devenu son métier. « A mon époque, notre personnalité comptait beaucoup. On avait toutes des nationalités, des styles et des caractères différents. Personne n’était sur le même registre. Chacune avait sa propre identité », explique Estelle Lefébure dans une interview accordée au magazine en ligne Lifestyle.
« L’apologie du paraître »
« Aujourd’hui, les filles se ressemblent. Les créateurs ont changé, tout comme l’industrie de la mode. Les années 80 étaient des années d’or. Désormais, on est sur des égéries, il faut avoir 1 million de followers sur Instagram pour séduire les marques », poursuit l’ancienne candidate de Danse avec les stars, consciente toutefois que le mannequinat a toujours « fait l’apologie du paraître ». Si Estelle Lefébure est toujours très au fait des dernières tendances, c’est peut-être aussi parce que sa fille Ilona Smet, âgée de 21 ans, a suivi les traces de sa maman et est aujourd’hui… top model.