L’ancienne ministre de la Culture Fleur Pellerin a évoqué comment son départ du gouvernement en février dernier lui a permis de se rapprocher de sa fille Bérénice, 12 ans.
Si son éviction du gouvernement lors du remaniement de février dernier avait été dur à encaisser, Fleur Pellerin en aura tout de même tiré du bon. En effet, l’ex-ministre de la culture a dévoilé au Parisien qu’elle accorde aujourd’hui plus de temps à sa fille Bérénice qu’elle a eu de sa précédente relation, avant de rencontrer son mari actuel Laurent Olléon. Une nécessité, compte tenu du fait qu’elle ne l’a « quasi pas vue entre ses 7 ans et ses 12 ans« .
« Deux énarques ensemble, cela peut donner l’impression d’une forme d’endogamie, a-t-elle confié. Mais nous venons tous deux de milieux très modestes. » L’avenir ? Elle l’imagine surtout avec sa fille, Bérénice, 12 ans : « Je ne l’ai quasi pas vue entre ses 7 ans et ses 12 ans, je l’ai retrouvée en quittant le gouvernement« , ajoute-t-elle.
Elle évoque le dur métier de parents
A la tête de Korelya depuis cet été, opérateur principal d’un fonds de capital-risque, sa vie de mère risque pourtant d’être de nouveau mise entre parenthèses. Mais Fleur Pellerin relativise, citant alors le pédopsychiatre Marcel Rufo : « Il faut être un parent moyen, dit-elle en souriant. Pas trop mais pas trop peu. Finalement, les parents qui valent 12/20 sont des parents géniaux.«