Il y a trois semaines, Kim Kardashian a été victime d’un cambriolage dans sa chambre d’hôtel lors de sa venue à Paris pour assister à la Fashion Week. La police française est persuadée de mettre très vite la main sur les malfrats.
La venue de Kim Kardashian à Paris a attiré tous les regards. La star de télé-réalité a pris un break après son récent cambriolage pendant lequel on lui a volé pour plusieurs millions d’euros de bijoux et de téléphones sous la menace d’un pistolet. A la suite de cet incident survenu le 3 octobre dernier, une enquête a été ouverte par la police française afin de déterminer l’identité des malfrats. Pour l’heure, personne n’a encore été appréhendé mais le chef du célèbre 36 Quai des Orfèvres, Christian Sainte, a assuré au micro de Vanity Fair qu’il était confiant au sujet de ses chances de retrouver les malfrats, démentant par ailleurs les allégations selon lesquelles le braquage est un coup monté. « Il n’y a aucun doute sur la véridicité de cet incident » a-t-il lâché. A titre de rappel, c’est la Brigade de Répression du Banditisme (B.R.B) qui est en charge de l’enquête.
Christian Sainte a par ailleurs révélé que ce sont bel et bien des professionnels qui ont pénétré dans la chambre d’hôtel de Kim Kardashian. « Ils semblaient être organisés » lâche-t-il, ajoutant qu’il était « confiant » au sujet de la suite de l’enquête. Par ailleurs, Christian Sainte a reconnu que Kim Kardashian avait favorisé le travail des malfrats en donnant beaucoup d’informations sur les réseaux sociaux au sujet des bijoux qu’elle portait et de son planning. La semaine dernière, le concierge de l’hôtel de Pourtalès, où Kim Kardashian résidait la nuit du vol, a rompu le silence en mettant en cause la responsabilité des patrons de l’hôtel, en reprochant une sécurité trop laxiste. Ce dernier a confié au site MailOnline qu’il avait pris peur pour sa sécurité personnelle plusieurs années avant l’attaque, et qu’il avait donc averti les patrons de l’hôtel que les clients étaient vulnérables. Une information confirmée par le chef du 36 Quai des Orfèvres qui précise qu’il n’y avait ni caméras, ni de serrures très sécurisées dans le bâtiment.