Fans du ténor français ? Vincent Niclo revient le 23 septembre avec un nouvel album, « 5.0 », que lui a écrit Pascal Obispo.
Closer : Vous vous sentez plus proche de Tony dans West Side Story, de Roméo dans Roméo et Juliette ou de Rhett Butler dans Autant en emporte le vent ?
Vincent Niclo : J’aime bien le côté Tony. C’est un rebelle, en dehors des cases. C’est vrai que je ne donne pas cette impression-là. Je suis d’une certaine façon rebelle car, lorsque j’ai une idée, je la défends jusqu’au bout.
Et à l’école, fayot ou rebelle ?
Plutôt rebelle. Comme j’avais de bonnes notes sans beaucoup travailler, j’avais le temps de faire des choses plus drôles. J’ai fait quelques bêtises comme cette fois où j’ai fait exploser une fusée de feu d’artifice dans le Sacré-Cœur. Je l’avais mal orientée et il y a eu un coup de vent.
Le tube de Pascal Obispo que vous préférez ?
L’important, c’est d’aimer. J’ai eu la chance de le chanter avec lui dans une émission qui lui était consacrée.
Quel est votre complexe ?
Je n’aime pas mes mains ni mes pieds. Je ne me trouve pas équilibré entre le haut et le bas.
Quelle chanson avez-vous honte de fredonner ?
Pandi Panda petit ourson de Chine. (Rires.)
Vous dansez, chantez et jouez la comédie. Avez-vous un autre talent caché ?
Je bricole. Ça me vide la tête.
Et votre bouffée d’oxygène ?
La plongée sous-marine. J’adore… même après m’être retrouvé face à sept requins. Avec mon binôme, on a réussi à les éloigner avec un bâton, mais ça a pris un long moment.
Un souvenir de soirée arrosée ?
Pour mon premier album avec les Chœurs de l’Armée rouge, je suis parti en Russie et je dois dire qu’on n’a pas du tout la même façon de maîtriser la vodka. A la fin du repas, j’avais du mal à voir le général qui me faisait face.
Le méfier que vous auriez rêvé de faire ?
Tennisman professionnel ou bien océanographe.
Le superpouvoir que vous aimeriez posséder ?
Avoir des flashs. Prévoir des événements ou avoir des pouvoirs pour guérir.
La personne disparue que vous auriez aimé rencontrer ?
La musique qui vous fait bouger en boîte de nuit ?
Can’t Stop The Feeling de Justin Timberlake.
Tiens, la lampe magique ! Vous pouvez formuler trois vœux…
Faire revenir des personnes chères qui ont disparu, retrouver la planète moins polluée, telle qu’elle était il y a cinquante ans, et pouvoir fêter deux fois Noël dans l’année. J’adore cette fête.
Cette interview a été publiée dans le numéro 583 de Closer.