Quelle est l’actualité peopolitique du jour ? Toutes les réponses sont dans notre 20h people !
Robert Rochefort, vice-président du MoDem, a été interpellé le 31 août dernier pour exhibition sexuelle dans un magasin de bricolage de Vélizy-Villacoublay dans les Yvelines, en région parisienne selon les infos de RTL. C’est un des vigiles de la grande surface qui l’a surpris en train de se masturber à côté de deux enfants. Agé de 60 ans, il a été entendu pendant quatre heures puis remis en liberté après avoir accepté une procédure de composition pénale : autrement dit il a reconnu les faits d’exhibition sexuelle, ce qui lui fera éviter un procès. Cependant, il pourra être condamné à payer une amende et pourra faire l’objet d’une injonction de soins.
Dans l’ouvrage « Le Premier Secrétaire de la République » aux éditions Fayard qui paraît ce mois, le journaliste Cyril Graziani raconte en détails comment Valérie Trierweiler et Brigitte Macron auraient fait un pacte de soutien dans un restaurant chic de Saint-Germain-des-Prés quelques semaines avant la démission du ministre de l’Economie, survenue cette semaine : « En ce début du mois de mai 2016, une table devise. Brigitte Macron déjeune avec un ami. En plein milieu de leur tête-à-tête surgit, telle la foudre, celle qui a fait trembler la République : Valérie Trierweiler« , détaille l’auteur, qui rapporte alors les propos qu’aurait tenus l’ex-première dame à la femme d’Emmanuel Macron : « Il faut absolument qu’Emmanuel y aille« . Sous-entendu à la présidentielle de 2017.
Excédée par ces révélations, Valérie Trierweiler a mis les choses au clair aujourd’hui sur Twitter : « Cyriel Graziani est un journaliste sérieux, mais le dialogue reconstitué avec Brigitte Macron dans son livre est bidon. Quand j’ai quelque chose à dire, je le dis« , s’est agacée l’ancienne compagne de François Hollande.
Manuel Valls, lui, est très occupé à freiner la candidature probable du « Microbe« (c’est le surnom qu’il donne à Emmanuel Macron en privé). Ses proches ont donc été chargés par le Premier ministre de lui savonner la planche…
Selon le site du Point, un proche de l’ancien maire d’Évry évoque Macron en ces termes : « Je vomis sa déloyauté, je trouve ça indigne, irresponsable. Son comportement est indécent de prétention. François Hollande l’a quasiment nourri au sein. » Un autre confie que « Macron, il a la dalle du ghetto ». C’est également ce que Manuel Valls veut signifier lorsqu’il déclare qu’ « il n’y a pas de destin individuel dans l’ambiguïté. C’est une belle chose de servir le gouvernement de la France, surtout quand on n’est pas en désaccord, quand on a été collaborateur il y a deux ans à peine, puis ministre« .