Après un traumatisme, il n’y a rien de mieux que de passer du temps avec ses proches pour aller mieux. Bono, qui n’était pas loin de la Promenade des Anglais le soir de l’attentat, le 14 juillet dernier, a été aperçu à Saint-Tropez en compagnie de sa femme.
Le leader du groupe U2, Bono, était présent à Nice lors de l’attentat du 14 juillet qui a fait 84 morts et de nombreux blessés. Le chanteur s’est caché dans un restaurant pendant cet horrible évènement et cherche maintenant à se ressourcer et sûrement oublier cette soirée. Il a ainsi été aperçu aux côtés de sa femme à Saint-Tropez. Bono a aussi participé au diner caritatif organisé par Leonardo Dicaprio. Une partie des fonds perçus lors de ce diner vont être reversés aux victimes de l’attentat.
42 millions d’euros ont été récolté lors de ce diner caritatif, et l’acteur a même fait une donation personnelle : « Leonardo DiCaprio a fait un don personnel, tout comme un certain nombre d’invités présents » expliquait son association. Une partie des dons sera reversé à l’association Give For France, qui aide les victimes de l’attentat de Nice.
Bono était le 14 juillet dernier au restaurant La Petite Terrasse, situé à quelques mètres de la Promenade des Anglais. Stéphane Durand-Souffland, journaliste au Figaro et présent au même endroit a raconté la soirée cauchemardesque qu’il a vécue ainsi que le chanteur et les autres personnes présentes. Et c’est un mouvement de foule qui leur a fait comprendre que quelque chose de grave se passait : « Ils ont été d’autant plus surpris par un mouvement de foule brutal : des dizaines de personnes courant dans tous les sens, certaines cherchant refuge dans l’établissement. Une folle rumeur se propageait : des individus dangereux s’étaient échappés d’un fourgon, et la police les poursuivait à travers la ville. (…) Puis, rapidement, les forces de l’ordre ont consigné tout le monde à l’intérieur du restaurant. Par les fenêtres, les clients voyaient les traits bleus des lunettes à vision nocturnes des tireurs d’élite. Au bout d’interminables minutes, des policiers cagoulés et lourdement armés ont fait sortir les clients, le personnel et la patronne, Nicole Rubi, un à un, et a canalisé la petite troupe, invitée à garder les mains en l’air, vers la place Masséna.«